dimanche 1 juin 2014

In my mail box #54


In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren  et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie . C’est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés. Les liens sont regroupés sur le site Lire ou mourir .

Aujourd’hui je vous présente un IMM un peu spécial.
Voila environ 1 mois je suis tombé sur un message sur une faute de la stagiaire pour la série Rush ou il proposait un exemplaire gratuit si l'on signait un contrat et que l'on s’acquittait de différentes dettes. Je vous mets ici le premier message.

[Pour voir le contrat cliquer sur l'image ]

Maintenant je vous montre le contenu du colis 



Rush - Contrat 1 - Dette de sang
Auteur :  Phillip Gwynne      
Edition : Casterman
Collection : Romans
Date de parution : 12/03/2014
Serie : RUSH
Tome : 1
Pages : 304
Prix : 15,00 €

Résumé
Gold Coast, Australie, état du Queensland. Le jour de son quinzième anniversaire, le jeune Dom se voit révéler de la bouche de son père et de son grand-père, un secret familial stupéfiant. Originaire de Calabre et autrefois affiliée à la 'Ndrangheta, la mafia locale, sa famille, en dépit de son apparente richesse, a contracté une lourde dette. Pour la racheter, tous les descendants mâles de l'aïeul Dominic Silvagni, dont il porte le nom, doivent dès qu'ils ont quinze ans s'acquitter seuls d'une série de six épreuves exigées par la mafia, sans qu'il soit possible de connaître à l'avance la nature de chacune d'elles. En cas d'insuccès : "Le créancier pourra prélever une livre de chair sur son débiteur"...

Pour en savoir plus sur la série et télécharger gratuitement les premiers chapitres de Dette de Sang, rendez-vous sur le site www.rush-lelivre.fr

2 commentaires:

  1. RhOooooooOoo la pauvre stagiaire, quelle expérience horrible :o 500 livres sur les bras, argh !
    Mais du coup je ne cesse de voir ce roman, ça lui fait une bonne pub ^^
    Je te souhaite une belle semaine riche en lectures,
    Au plaisir de te lire,
    Cajou

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