7,5/10
Edition: France loisirs
397 pages
J’ai découvert cette série à sa sortie mais ayant des
difficultés pour avoir le tome deux dans mon édition j’en ai longtemps repoussé
la lecture et puis le tirage de ma Book jar m’a fait sortir cette dystopie de ma
PAL.
Résumé:
Ceux qui portent la marque sont la clé de l'avenir.
Dans le monde de Gaia, il y a les privilégiés, qui habitent
derrière le mur de l'Enclave, et ceux, comme elle, qui vivent à l'extérieur.
Tous les mois, la jeune fille aide sa mère, sage-femme, à donner à l'Enclave
trois nouveau-nés. Mais, un soir, les parents de Gaia sont brutalement arrêtés
et conduits derrière le mur. A peine ont-ils le temps de lui confier un
mystérieux ruban sur lequel est brodé un étrange code...
Dans un monde post apocalyptique, une partie de la
population habite dans une enclave où ceux de l’extérieur n’ont pas leur place
à part trois fois par mois pour que les sages femmes
« avance » à l’enclave les trois premiers bébés du mois
qu’elles accouchent. Ces bébés seront alors élevés dans l’enclave.
C’est dans un monde post apocalyptique ou l’énergie a
quasiment disparu que nous faisons la connaissance de Gaïa une jeune fille de
16 ans exerçant le métier de sage-femme qui voit sa vie bouleversée le jour de
son premier accouchement en solitaire (un bébé qu’elle doit déposer à
l’enclave) et la disparition des ses parents qui va amener toute une série de
questions.
Au début de l’histoire, Gaïa m’a paru un peu têtes à claques
et geignardes mais les épreuves montrent une jeune femme forte et intelligence
qui pousse vraiment à s’attacher à elle.
J’ai découvert un récit en dent de scie du à de nombreux
temps morts dans l’histoire. Ces temps morts font tout de même avancer
l’histoire car l’auteur y distille de nombreux détails sur l’univers. En
revanche du parti récit concernant l’action sont vraiment intenses et montres
des scènes que j’ai trouvées un peu malsaine telles que la pendaison d’une
femme. Selon moi le côté dystopie est vraiment très présent et fouillé
concernant de nombreuses parties de la vie y compris dans l’enclave où l’on
s’attendrait à ce que tout le monde ai les mêmes droits.
Ce premier tome assez addictif se termine sur une fin un peu
cliché et prévisible mais qui amène un vrai questionnement sur les vérités de
ce monde et le futur de Gaïa.
En bref, un premier tome qui comporte quelques temps morts
mais pose un univers très complet. Et qui malgré une fin assez prévisible donne
vraiment envie de connaître le devenir de Gaïa (prénom que j’ai trouvé bien
choisi car très symbolique).
c'est un univers qui me tente.
RépondreSupprimerpas un coup de coeur, mais une bonne lecture malgré tout :) je suis curieuse de lire la suite!
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